Oser se démarquer, le désirer et sauter le pas implique de souligner les possibles répercussions, induites, à l’ensemble de la profession ou de l’activité ou encore, sur un produit ou service.
Ensemble, nous allons intégrer cette variable dans un processus et sa continuité.
L’injection SQL est une menace persistante dans le monde de la cybersécurité. Cette technique d’attaque permet à un attaquant d’insérer du code SQL malveillant dans une requête SQL via l’entrée d’un utilisateur pour manipuler ou compromettre la base de données. En 2024, les attaques par injection SQL restent une des vulnérabilités les plus courantes et les plus dangereuses pour les applications web. Cet article examine comment se protéger contre l’injection SQL, avec un focus particulier sur l’exemple classique de l’injection SQL de type « 1=1 ».
L’injection SQL survient lorsqu’un attaquant manipule une requête SQL pour exécuter des actions non prévues par le développeur, telles que lire, modifier ou supprimer des données sensibles. Cette technique repose souvent sur une entrée utilisateur non validée ou non échappée.
Prenons un formulaire de connexion où un utilisateur entre son nom d’utilisateur et son mot de passe. Le code PHP pour traiter cette entrée pourrait ressembler à ceci :
$username = $_POST['username'];
$password = $_POST['password'];
$query = "SELECT * FROM users WHERE username = '$username' AND password = '$password'";
$result = mysqli_query($conn, $query);
Un attaquant pourrait entrer quelque chose comme ceci dans le champ username :
' OR 1=1 --
Et laisser le champ password vide ou entrer n’importe quoi. La requête SQL deviendrait alors :
SELECT * FROM users WHERE username = '' OR 1=1 -- ' AND password = ''
//au lieu de : SELECT * FROM users WHERE username = '$username' AND password = '$password'";
Découpage en deux temps de cette injection SQL, parmi la plus courante, tout simplement parce que c’est la plus simple à mettre en œuvre.
Le résultat de la requête après cette injection SQL devient celle-ci :
SELECT * FROM users WHERE username = '' OR 1=1
Ce qui revient à simplifier par cette requête SQL :
SELECT * FROM users
Cette requête reveint à demander de sélectionner [SELECT] toutes les informations [*] de la table [FROM] des utilisateurs [users]. Autrement dit, elle renverra toutes les lignes de la table `users`, permettant potentiellement à l’attaquant de contourner le mécanisme d’authentification.
Pour se protéger contre les attaques par injection SQL, il est crucial d’adopter plusieurs bonnes pratiques :
$stmt = $conn->prepare("SELECT * FROM users WHERE username = ? AND password = ?");
$stmt->bind_param("ss", $username, $password);
$stmt->execute();
Assurez-vous que les données entrées par l’utilisateur respectent les formats attendus et utilisez des fonctions d’échappement appropriées pour éviter que des caractères spéciaux ne perturbent la syntaxe SQL.
Les ORM comme Eloquent (l’ORM de Laravel, notre préféré), Hibernate, Doctrine, ou Entity Framework gèrent les interactions avec la base de données d’une manière sécurisée, réduisant le risque d’injection SQL.
Dans sa quinzième année, NOVAPULSE est bien plus qu’un Studio web, c’est un partenaire à 360° dans votre communication digitale.
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